Rater une marche, glisser sur une feuille d’automne, prendre un coup au sport, subir une chirurgie ou une chimiothérapie, vivre un deuil… les petits et les grands accidents de la vie croisent notre chemin.
Les chocs physiques ou émotionnels subis s’inscrivent dans le corps, qui les absorbe plus ou moins bien sur le moment ou à terme.Au regard des informations que vous m’indiquerez, mais aussi suite à l’écoute de vos tissus, la séance s’appliquera à « libérer » les éventuelles tensions et adaptations posturales engendrés par les traumatismes vécus.
Fréquente, l’entorse de cheville, quel que soit le niveau d’atteinte du ligament et donc de gravité, relève du traitement complémentaire en Ostéopathie. Les réflexes neuro-musculo-squelettiques qui se déclenchent lors d’un mouvement au-delà des limites physiologiques d’une articulation ont pour but de protéger les ligaments. Ils laissent des séquelles qui sont à l’origine de déséquilibres ou de pertes de mobilité dans le corps.
Une formation spécialisée sur l’entorse de cheville me permet de vous recevoir et de débuter le traitement même sur une entorse « fraiche ». Cette première consultation est suivie à une semaine d’une seconde, afin de finaliser le plan de traitement, sur une cheville déjà moins douloureuse et permettant de mobiliser les structures mises à l’épreuve lors de ce traumatisme.
En dehors de causes traumatiques, je m’attacherai aussi à comprendre pourquoi votre cheville a manifesté une faiblesse. L’entorse de cheville est souvent révélatrice de dysfonctions situées à d’autres niveaux (genou, bassin, mâchoire…)
Même si votre entorse est ancienne, je vous recommande de consulter un ostéopathe !
Dans certains cas, il sera aussi important d’effectuer un travail de rééducation auprès d’un masseur kinésithérapeute, notamment sur le plan de la proprioception.
Aussi appelé Whiplash, il représente, selon la définition de la Haute Autorité de Santé, l’accélération brutale de la tête vers l’avant puis vers l’arrière entraînant une hyper-flexion puis une hyper-extension du rachis cervical.
Les accidents de la route constituent la principale cause de whiplash, mais ils peuvent aussi se produire lors de chutes au travail, au cours d’activités sportives, ou encore dans certains manèges de parcs d’attraction. Il n’existe pas de relation entre la force de l’impact et la sévérité des douleurs.
Une étude scientifique montre que dans 65% des collisions avec choc arrière où le véhicule est très peu endommagé, d’importantes douleurs cervicales peuvent apparaitre.
Une prise en charge ostéopathique, après les examens médicaux d’urgences réalisés, contribue à l’amélioration des douleurs faisant suite à un whiplash. L’ostéopathe s’attachera à identifier les tensions et les compensations présentes dans le corps suite au choc perçu. Le traitement visera à relâcher les structures anatomiques restées en « situation de stress » et qui limitent les capacités d’adaptation du corps, souvent à l’origine de douleurs.